Le réseau de la santé québécois doit s’éloigner de la médecine-boucherie

Que ce soit avec des opérations invasives pour lesquelles aucun prévention digne de ce nom n’a eu lieu ou encore, pour le fleuve de molécules chimiques prescrites, aussi bien aux malades qu’aux « gens en santé qui ressentent un petit malaise », le réseau de la santé québécois adhère à fond à l’approche de la médecine-boucherie.

Et là, on ne parle même pas de la « business » des « diagnostics » qui servent de catalyseur final pour « vendre » (lire: imposer) les « traitements » invasifs qui concentrent leurs actions pour soulager les symptômes des maux plutôt que d’éradiquer les maux eux-mêmes, via des approches où la santé d’un individu est vue comme un tout (ce qui serait souhaitable) et non pas une infinité de parties non-connectées (comme c’est le cas, en ce moment).

Au fil des ans, le réseau de la santé, au Québec, s’est transformé en « monde merveilleux » pour les tenants de la médecine-boucherie puisque chaque petit malaise ou grosse maladie « doit » être adressée par un ou plusieurs « traitements » médicaux qui comportent presque toujours une forte composante pharmacologique, comme quoi entre membres de la même famille mafieuse (médecins et pharmaciens), il faut se filer un coup de main!

Pensez-y, pour n’importe quelle condition ou pathologie clinique, les médecins vous proposeront…

  • de vous « ouvrir » (lire: charcuter) pour y faire quelque chose comme, par exemple, enlever un organe « malade », en tout ou en partie;
  • de vous droguer pour mieux contrôler les symptômes d’une pathologie (sans « guérir » la personne et ce, afin de vendre les « traitements » aussi longtemps que possible);
  • de vous empoisonner pour « combattre » différents indésirables, comme la chimiothérapie qui détruit aussi bien votre système immunitaire que les cellules cancéreuses (souvent sans le succès initialement escompté).

Le but, pour la mafia médico-pharmaceutique n’est pas de vous garder en santé puisque, pensez-y, si tous les Québécois…

  • affichaient un poids-santé;
  • faisaient quotidiennement de l’exercice;
  • mangeaient des aliments nutritifs et évitaient systématiquement le « junk food »; et en plus
  • comprenaient et appliquaient les méthodes élémentaires de santé naturelle où un environnement sain contribue à garder le corps en santé.

…alors, le « gros show de boucane » de la médecine-boucherie n’intéresserait plus personne.

Dans une telle société, nous n’aurions pas à dépenser plus de 23 milliards de dollars par année pour financer des séances de boucherie et acheter des conteneurs pleins de pilules, pour faire image.

Et le « bon » Dr Yves Bolduc, ministre de la Santé, arrêterait de se tourmenter concernant le réseau de la santé. C’est tout simple, en gardant la population en santé en amont, on évite le déluge de « complications » en aval.

En fait, pour vendre la médecine-boucherie, celle où l’humain est traité comme un gros morceau de viandes (avec une carte de crédit « bar open » qu’est l’Assurance-maladie), les « guidounes en sarrau » (les « pimps » des transnationales pharmaceutiques) utilisent LA PEUR.

Oui, la peur.

Et ça fonctionne!

Assoyez n’importe quelle personne devant « un diplômé en sarrau » et annoncez-lui qu’il a le cancer et qu’il va mourir sauf s’il accepte de suivre « le plan » du « tenant de la science médicale » qui soutient, sans gêne, qu’il n’existe AUCUNE AUTRE alternative.

Cette personne sera paniquée et aura PEUR.

Le médecin aura atteint son objectif-premier et pourra alors charcuter, droguer et empoisonner son « patient » à loisir, surtout que celui-ci signera tous les bouts de papiers que son « médecin-soignant » lui mettra sous la main, essentiellement pour se laver les mains des « risques » que comportent des interventions aussi invasives.

En après-midi, le médecin pourra retourner frapper ses balles de golf pendant que « le patient » entre dans l’enfer de la médecine invasive… sans trop savoir dans quoi il s’embarque!

Pour la mafia médico-pharmaceutique, il s’agit d’un monde idéal où les patients reçoivent ce qui, selon eux, constituent les « meilleurs traitements ». Sigh…

Et pour les « chanceux » qui s’en sortent?

C’est vrai, il y a des gens pour qui la médecine invasive fonctionne et c’est tant mieux pour eux mais à quel prix ont-ils repris un tant soit peu de santé?

Par exemple, un nombre incalculable de cancéreux disent avoir été « guéris » grâce à la chimiothérapie (ce qui est faux puisqu’ils ont également « tué, chimiquement » leur propre système immunitaire qui est un système très complexe à rebâtir).

Et après un certain temps, 1 mois, 6 mois, 1 an ou un peu plus, ils tombent victimes d’un autre cancer ou d’un quelconque pathologie qui a pris beaucoup d’ampleur en raison de leur système immunitaire rendu déficient.

Après ça, ne cherchez pas le médecin qui a « scrappé » cette personne-là!

Il joue probablement au golf (pour venir en aide à une quelconque « fondation », bien entendu) et vous brandira sa « décharge de responsabilité (signée par le « patient ») » si vous osez lier son intervention invasive à la mort de son « patient ».

Le destin a le dos large, avec nos médecins…

À peu de choses près, c’est le même scénario pour une majorité de pathologies courantes: l’humain doit combattre à la fois sa pathologie et l’intervention invasive censée combattre cette pathologie!

Autrement dit, au Québec, notre réseau  glorifie la médecine-boucherie pour faire plaisir à la mafia médico-pharmaceutique et non pour maintenir sa population en parfaite santé.

Si quelqu’un, comme un médecin, a le front de venir dire que la médecine-boucherie est une succès, on pourra alors lui demander de nous parler des 23MM$ que nous coûtent ce système, annuellement, en plus des problèmes inédits de santé publiques auxquels nous faisons face. Et il répondra que nous, « idiots de citoyens », n’avons pas encore versé assez d’argent dans les poches sans fond de la mafia médico-pharmaceutique, dont il fait parti.

Est-ce qu’il y a un moment où cette médecine-boucherie peut s’avérer utile?

Absolument!

Pour les fractures, les accidents de la route et autres urgences de cette nature ou encore, dans les cas de malformations, la médecine-boucherie peut sauver des vies et soulager d’horribles douleurs qui affectent aussi bien les gens en parfaite santé que ceux qui ne le sont pas.

Autrement dit, la médecine invasive a sa place mais pas TOUTE la place, comme c’est le cas, actuellement.

En tout premier lieu, il nous faut modifier radicalement l’agriculture pour sortir les OGMs, les herbicides, les pesticides et tout ce qui « tue la terre ». Il nous faut des aliments plus petits mais diablement plus nutritifs. Actuellement, c’est le contraire, de gros aliments qui ne contiennent plus que l’ombre de la nutrition qu’ils livraient, jadis, à chaque bouchée.

Ensuite, le gras trans ainsi que les excès de sel, de sucre et d’aliments transformés (de manière intensive, en usine) doivent être réduits, au maximum. Il faut faire de la place aux aliments BIO, frais et nutritifs — en commençant pas les cafétérias des hôpitaux!

L’organisation du travail aussi doit être revue pour que tous les Québécois puissent avoir le temps de se garder en forme et en santé. Actuellement, les Québécois passent plus de temps dans les bouchons de circulation qu’à marcher avec leurs enfants, dans nos belles forêts. Il s’agit d’un non-sens qu’il faut adresser, au plus tôt.

Socialement, il faut faciliter la réunification des familles via des maisons multigénérationnelles. Les économies d’échelle ainsi que les synergies qui résultent de l’unification des familles dépassent tout ce que les CLSC promettent mais ne livrent pas.

Et ainsi de suite.

Glorifions…

  • les aliments BIO et frais;
  • l’exercice;
  • l’activité physique;
  • un environnement sain;
  • l’hygiène;
  • de saines relations familiales (et en société);
  • l’épargne au lieu de l’endettement;
  • le repos;
  • les vitamines, minéraux et oligo-éléments facilement bio-absorbables;
  • les oignons;
  • l’ail;
  • le curcuma;
  • le gingembre;
  • le thym;
  • l’eau propre (et non-fluorée, c’est essentiel); et
  • le poivre noir fraîchement moulu.

…au lieu de penser que…

  • les vaccins;
  • les pilules; et
  • les drogues.

…représentent « la seule alternative ».

Un tel changement ne s’opère pas du jour au lendemain mais ce qu’on observe, sur le terrain, ce sont des citoyens qui demandent aux médecins d’évoluer vers des services de santé plus intégrés, humains et misant sur la prévention.

Espérons que les médecins et leur cortège de sympathisants qui s’enrichissent sur le dos des gens malades sauront voir leur système de santé chirurgical, chimique et « réactif » pour ce qu’il est soit un microscopique morceau d’un immense puzzle qu’ils n’ont même pas commencé à explorer.

En passant, pour les grosses complications de santé, il faudrait davantage recourir à l’utilisation d’oxygène et d’ozone. Les transnationales pharmaceutiques s’y opposeront violemment parce que ça élimine le besoin d’acheter leurs drogues mais en tant que citoyens, il faut se tenir debout et exiger une médecine intelligente qui guérit intégralement notre corps au lieu de nous faire du mal.

Il y a de nombreuses dimensions à la santé et le fait que plus de 23MM$ soient canalisés dans une seule vision de la médecine s’avère inacceptable. Et il faut que ça change, en commençant par s’éloigner de la médecine-boucherie.

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Claude Gélinashttps://videos.claude.ca/
Passionné des communications numériques, du développement web, de l'infographie et des avancées technologiques, au sens large.

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