Confidences d’une infirmière

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Au hazard d’une sortie au parc, j’ai eu le plaisir de m’entretenir avec une infirmière.

Pendant que nos enfants s’amusaient un peu plus loin devant nous, le sujet de l’état de santé général des Québécois est venu sur le sujet. C’était une discussion un peu banale mais lorsqu’elle a mentionné qu’elle était infirmière de métier, là, ça m’a doublement intéressé car je n’ai pas tous les jours l’occasion de discuter avec l’un d’elles à l’extérieur de son lieu de travail et donc, de connaître sa véritable position sur différents enjeux.

Alors j’ai profité de cette fenêtre d’opportunité pour en apprendre un peu plus sur sa vision de la santé, au Québec.

Sans la nommer ou la décrire de manière spécifique, je puis révéler qu’elle travaille dans un grand hôpital de la région de Québec. Enfin bref, j’avais une bonne demi-heure pour lui poser plein de questions. Et j’en ai profité!

Les vaccins

J’ai commencé par lui dire que j’étais complètement CONTRE LES VACCINS et là, elle a sursauté en disant « Comment pouvez-vous dire ça? Les vaccins, c’est notre seule chance devant la prolifération des virus! » — c’est clair qu’à l’école qu’elle me sortait le petit discours qui était enregistré sur « sa cassette » officielle d’infirmière mais je me doutais que ce n’était pas le fond de sa pensée.

Pour répondre à sa question, je lui ai rappelé que nous dépensions plus de 23MM$ par année pour la santé (ou la « maladie », c’est selon) et qu’en substituant les montagnes de poisons (les médicaments synthétiques) pour une alimentation saine et nutritive, de l’exercice, une bonne hygiène et un équilibre de vie bien dosé, les vaccins n’auraient aucune raison d’être.

Elle était d’accord (!)…

Mais elle m’a informé que « sur le terrain », les gens qui se ramassent dans les hôpitaux sont rarement en mesure de comprendre que l’alimentation est le meilleur rempart contre la maladie (par exemple, manger des oignons, de l’ail et du gingembre frais, tous les jours).

Alors je lui proposé qu’on éduque les gens à l’importance de bien manger et qu’on ferme —par la force s’il le faut— tout lieu de restauration qui ne trouverait pas le moyen de réintroduire la nutrition pleine et entière dont l’humain a besoin pour vivre en santé. Elle trouvait l’idée géniale mais a répondu que « les gens qu’on reçoit à l’hôpital ne comprennent tellement rien à leur santé qu’ils sont incapables de saisir les directives les plus élémentaires » et elle nuancé en disant « environ 25% des gens qu’on reçoit prennent déjà soin de leur santé et ressortent très vite de l’hôpital mais les autres ne font qu’aller et venir avec un nouveau bobo causé, plus souvent qu’autrement, par leur propre négligence grossière ».

Je l’ai regardé et j’ai dit « alors, c’est pour ça qu’on doit les vacciner… ils seraient trop bêtes pour se défendre contre les virus via une alimentation saine, right? » et elle m’a répondu, « Exactement. Si ces gens étaient conscients qu’ils avaient la responsabilité de demeurer en santé, ils auraient une chance mais ils savent à peine comment nous dire ce qu’ils ont alors les médecins leurs prescrivent un peu n’importe quoi jusqu’à ce qu’ils finissent par ne plus revenir à l’hôpital. Les médecins ne comprennent pas plus que nous ce dont la plupart de ces gens souffrent et c’est l’une des raisons pourquoi le système étouffe sous le poids des visites répétées. » alors j’ai compris que les infirmières font leur possible mais elle traitent avec des gens qui se rendent malades en traitant leur corps comme s’il s’agissait d’une poubelle.

Vu de ce bout-là de la lorgnette, je la comprends de vouloir autant vacciner tout le monde!

Elle a baissé les bras et a décidé que « le bétail » qui passait dans son service aurait à rouler sa manche pour recevoir une injection, remplie de mercure s’il le faut, car c’est le seul moyen de stopper la propagation d’un virus dans la population… de bétail, pour faire image. C’est ça, le « bottom line » de la « santé publique » du Québec « moderne ».

Ce n’était pas très flatteur pour les « usagers du système de santé » mais bon, c’était une conversation informelle et elle parlait, de plus en plus, sans son « filtre professionnel » d’infirmière.

À ce moment de la conversation, je me suis permis une question plus personnelle et je lui demandé si elle et ses enfants se faisaient vacciner et là, elle m’a répondu énergiquement que « Non! Je ne ferais jamais ça — je sais ce qu’il y a, là-dedans! D’ailleurs, aucun médecin ni aucune infirmière de mon service n’accepterait de se faire injecter avec un vaccin, n’importe quel vaccin… » — j’étais scié!

Elle savait très exactement qu’il ne fallait JAMAIS prendre de vaccins, pour elle et ses enfants mais elle en était, malgré tout, une grande défenderesse pour injecter… les autres!

Wow, avouez que ça donne un choc.

Mais je la comprends.

  • à longueur de journée, elle doit composer avec des gens qui ne comprennent RIEN à leur santé;
  • ces gens insistent pour que « le médecin » règle leurs problèmes, à leur place;
  • leurs « protocoles », déterminés par les « directions de santé publique » (redoutablement « pro-vaccins ») les encouragent à toujours vacciner, en cas de « doute » — alors il en viennent à le faire machinalement, comme si c’était « normal »;
  • mais pour eux, pour les professionnels qui comprennent comment la santé se préserve, c’était hors de question de se faire vacciner!

Le fait que vous soyez en train de lire cet article via l’internet fait en sorte que vous faites probablement partie des « 25% qui comprennent » dont parlait l’infirmière et donc, vous avez sûrement déjà modifié votre alimentation et votre mode de vie pour cultiver votre santé et terrasser la maladie. Autrement dit, vous faites déjà partie de ceux qui sont apparemment assez intelligents pour comprendre que les vaccins sont donnés aux humains comme ils sont donnés aux animaux, sans autre égard.

Regardez les petites filles qui se font injecter (presque de force) avec du Gardasil de Merck et qui souffrent d’un infinité de maux plus ou moins graves et récurrents et dans les pire cas, la mort. Mais Merck s’en lave complètement les mains (comme pour les centaines de milliers de morts du Vioxxpour lequel ils ne se sont JAMAIS excusés) et « personne n’est jamais responsable » comme si Merck avait produit des vaccins pour un troupeau d’animaux!

En passant, si ce n’est pas déjà fait REFUSEZ le Gardasil —pour vous, jeunes demoiselles et surtout pour les petites filles— parce que c’est un autre piège à cons destiné à lobotomiser chimiquement et stériliser nos femmes, tout en leur cachant que de la vitamine D et du soleil 15 minutes par jour sont suffisants, avec un mode de vie sain, pour les protéger d’à peu près toutes les formes de cancer!

Ne cherchez pas ce conseil dans les sites de « rubans roses » parce que ce serait « mauvais pour leur business » de dire la vérité…

Enfin bref, mon infirmière venait de me confirmer ce que d’autres médecins, d’autres infirmières (parmi les plus intelligentes) et travailleurs du réseau de la santé m’avaient déjà si souvent répété, à savoir qu’ils ne se feraient JAMAIS vacciner, qu’importe la « menace ».

Alors si vous, simple citoyen, êtes assez influençable pour aller vous faire vacciner, malgré tout, c’est que vous méritez probablement de vous faire EMPOISONNER légalement par des professionnels de la santé qui vont rire de vous.

Ils vous mentiront peut-être en vous disant « tout le monde ici a été vacciné » pour vous conditionner davantage à le faire vous aussi (pour faire comme « la meute ») mais dans les faits, ces gens n’ont jamais été vaccinés!

Ne vous laissez plus endormir — rarissîmes sont les médecins assez imbéciles pour se faire vacciner avec le poison des transnationales pharmaceutiques qui tuent des millions de personnes sans aucune conséquence!

En passant, ça aurait beau être Jean Charest en personne qui vient se présenter la face dans les « grands médias » pour implorer « ses citoyens » (le bétail) à se faire vacciner que vous devez combattre, avec la dernière des énergies, cette tentative de « conditionnement » et vous opposer à cette mascarade ou l’élite tente, une fois de plus, de vous empoisonner pour mieux vous contrôler (et vous vider les poches, au passage).

Et j’ai aussi parlé d’autres choses avec cette infirmière.

Les vitamines.

Là, elle m’a impressionné.

Elle savait qu’un corps en pleine santé avait besoin de toutes ses vitamines, de ses minéraux essentiels et d’une collection d’oligo-éléments. Comme infirmière, elle en savait clairement plus que la moyenne des gens.

Elle m’a expliqué qu’à part la vitamine A et certains complexe de la vitamine B, toutes les autres vitamines pouvaient être prises dans un dosage un peu plus élevé que ce qui est normalement recommandé et ce, sans aucun effet secondaire dommageable. Elle a aussi insisté sur l’importance des minéraux, comme le zinc et le magnésium. Côté oligoéléments, elle a parlé de l’argent colloïdal et ionique.

Cette infirmière venait de « passer mon test » (façon de parler) et m’avait positivement impressionné!

À l’évidence, elle faisait partie de ceux qui peuvent passer leurs grandes journées dans les hôpitaux sans jamais tomber malades.

À la fin de notre discussion (où nous avons aussi parlé de choses et d’autres, non liées au thème de cet article), je l’ai remercié d’avoir accepté de me livrer tous ces renseignements et là, elle m’a dit quelque chose d’intéressant. Elle a dit « Ça me fait plaisir de vous dire tout ça parce que vous avez pris le temps de m’écouter. Les gens qui me rencontrent, à l’hôpital, ne veulent pas entendre ce que j’ai à dire parce qu’ils veulent toujours parler exclusivement au médecins. On pourrait leur dire bien des choses s’ils étaient disposés à écouter mais clairement, ils ne le sont pas. » — ouch!

Ça, les amis, ça signifie qu’il faut sensibiliser tous ceux qui entourent.

Qu’ils jettent leur téléviseur par la fenêtre et qu’ils s’abonnent à internet pour lire des blogs non-contrôlés par les « grands médias », comme celui-ci. Les gens doivent doivent s’extirper de la matrice de contrôle où ils sont retenus prisonniers, dans une bouette intellectuelle qui les conforte dans leur ignorance relative… et dans la soumission au « pouvoir central », à des années lumières de leur propre meilleur intérêt.

Les Québécois doivent tous s’occuper de leur corps comme s’il s’agissait d’un temple.

Ça signifie de…

  • bien s’alimenter (bio, pas d’OGM, pas d’aspartame, pas trop de sucre ou de sel, zéro gras trans et ainsi de suite);
  • faire de l’exercice (autrement dit, bouger);
  • faire du ménage dans sa vie et aimer les autres au lieu d’étirer les chicanes;
  • trouver un équilibre de vie tel que le stress sera réduit au minimum.

Et bon, comme chaque personne est unique, il vous appartient de trouver ce qui fonctionne pour vous.

Alors, écoutez votre voix intérieure.

Et si vous devez retenir quelque chose de cet « interview informel », c’est que ceux qui savent ce que contiennent les vaccins ne les prennent JAMAIS, qu’un équilibre de vie fait toute la différence et que les vitamines, c’est important.

Il y a une raison pour laquelle vous n’entendrez JAMAIS parler de cette infirmière dans les « grands médias » et c’est parce qu’ils sont une propriété des mêmes groupes qui ont un intérêt à vous empoisonner pour mieux vous contrôler.

Si vous avez besoin d’un cours de « domination du peuple 101 » pour voir plus clair dans l’agenda de ceux qui vous veulent du mal, je vous recommande de voir (ou de revoir) le film 1984, que voici…

Sortez du piège de la propagande médiatique et reprenez le contrôle de votre vie.

À l’image de cette infirmière, commencez par dire NON AUX VACCINS et ce, même si tous les médias vont tout faire pour vous lessiver le cerveau afin de essayer de vous faire croire que « tout le monde le fait » — profitez-en aussi pour dire NON à leur propagande et vous aurez doublement déjoué leur plan destiné à vous empoisonner le corps et l’esprit.

Un peuple qui dit NON est un peuple qui gagne et impose le respect alors qu’un peuple qui dit toujours oui se fait contrôler sans cesse de manière plus autoritaire. Il faudrait que les Québécois apprennent à s’opposer plus souvent à la « propagande officielle »…

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