La descente aux enfers des Américains

591

Si vous êtes de ceux assez naïfs pour croire que l’élection de Barack Hussein Obama va -vraiment- améliorer le sort des Américains, vous devriez continuer à vous informer à propos de l’imposture sans nom qu’on appelle la « crise financière » qui n’a cessé d’empirer depuis le 1er octobre dernier, jour où la proverbiale marmite a sauté.

Même si les « grands médias » ne cessent de pleurer le sort des « pauvres banquiers », il ne faut jamais perdre de vue que ces même médias appartiennent, directement ou non, à ces banquiers!

Ainsi, presque tous les grands médias qui ont pleuré des fleuves de larmes pour les banquiers-milliardaires -mais- qui n’ont même pas mentionné les millions de familles américaines moyennes JETÉES À LA RUE ont chanté en cœur le « miracle américain » qui a rendu possible l’élection d’Obama.

Côté crédibilité, on repassera.

Pourquoi craindre la montée d’Obama au moment où la classe moyenne américaine se fait attaquer de toutes parts?

Parce que Barack Hussein Obama travaille pour l’élite, celle qui entretient la « politique-spectacle » qui consiste notamment à opposer les Démocrates aux Républicains afin de « donner l’impression » que les électeurs contrôlent encore quelque chose alors que, dans les faits, il n’en est rien!

Les « américains moyens » ne contrôlent pas plus leurs politiciens qu’ils ne contrôlent leurs médias ou leur système financier — l’élite se charge de les réduire à l’esclavage économique, un dollar de dette à la fois, doucement, sans se faire remarquer.

Il n’y a qu’une poignée de médias indépendants qui ont eu « le courage » de dénoncer, haut et fort, le « membership » de Barack Hussein Obama au puissant Council on Foreign Relations, créature de l’élite ultra-riche et puissante qui tire les ficelles du pouvoir invisible qui ruine les citoyens du monde qui, trop occupés à pousser leur roche en haut d’une montagne-sans-fin, ne voient pas le peu de possessions qu’il leur reste passer aux mains de ces cercles d’influence, jour après jour.

En ce moment, la classe moyenne américaine est attaquée sans relâche.

C’est une guerre économique, rien de moins.

Personne n’en parle si ce n’est pour déplorer les « pertes de valeur » des bourses domestiques et internationales. Les médias blâment tout ce qui arrive dans le cadre de la « crise financière » sur le dos des Américains… c’est tellement triste de voir un peuple aussi formidable se faire violer de façon aussi ignoble par une élite aussi cruelle et pourtant, tellement puissante qu’elle peut agir en toute impunité.

Connaissez-vous -bien- ce gars, venu d’ailleurs, qui s’appelle Barack Hussein Obama?

Vous êtes-vous arrêté pour explorer les ramifications de ce « personnage »?

Voici, en rafale, quelques pointeurs concernant Obama…

  • Barack Obama fait partie du CFR et de bien d’autres organisations qui n’affichent pas publiquement leur véritable agenda.
  • Barack Obama n’arrête pas de mentir pour « acheter du temps » auprès de sa vaste base militante et des autres citoyens, question de laisser du temps à l’élite pour bien établir une « matrice de contrôle » encore plus terrifiante que celle qui jette actuellement les Américains à la rue, sans AUCUN recours.
  • Barack Obama parle du « changement » mais n’a jamais vraiment dit quoique ce soit de substantif. Il mise sur le rêve et l’espoir du « bon peuple » pour un gouvernement juste et bénévolent mais sous le joug de l’élite, ça n’arrivera hélas jamais.
  • Barack Obama ne répond PAS au peuple américain, il répond à l’élite — le reste n’est qu’un misérable spectacle mis en scène pour divertir ceux qui croient encore au Père Noël.

Des plus jeunes électeurs aux plus vieux, il a su charmer l’Amérique avec ses discours « à sens unique » qui misent sur la « fierté d’être Américain » qui, dans le fond, veut tout dire et ne rien dire du tout mais force est d’admettre que ça fonctionne comme un charme, pour lui.

Alors que des millions d’Américains dorment dans des maisons mobiles, chez des amis ou dans des refuges après avoir été jetés à la rue par les requins de Wall Street, ces banquiers sans morale et sans scrupules, Obama vient de décréter qu’il ne sortira pas de l’Irak avant un autre 16 mois.

16 mois de plus de GUERRE SANGLANTE en Irak, pensez-y!

Une occupation militaire complètement illégale qui viole TOUS les traités contemporains de non-ingérence — et Obama vote à 100% en faveur de ça.

Des trilliards de dollars envolés en fumée pour continuer une guerre illégale, illégitime et indéfendable contre un peuple qui tente de faire du sens des millions de morts qu’ils ont dû pleurer depuis l’invasion américaine, sous le régime quasi-dictatorial du clan Bush (père et fils).

Ainsi, Obama va continuer à mentir aux Américains.

Et même lorsqu’ils perdront leur maison aux mains des banquiers sans gêne qui volent les Américains au grand jour, des millions de fans d’Obama continueront à « croire en lui » au lieu de « croire en eux » et se prendre en main pour renverser cette élite malsaine, malveillante et profondément anti-humaniste.

Barack Obama ne fera -rien de vraiment bon- pour les Américains.

Cependant, il fera absolument tout ce que l’élite lui « demandera », publiquement ou non.

Il faut saluer Stephen Harper qui n’a pas joué les groupies après la victoire d’Obama, se contentant des félicitations d’usage. Il a sûrement compris ce qui se passe et même si ça peut paraître dûr à croire, c’est peut-être notre plus grand allié.

Certes, il a participé au Sommet de Montebello qui avait, selon toute vraisemblance, comme objectif de tuer le Canada (à divers degrés) pour faciliter l’introduction du « Bloc Nord-américain » tel que vu par le Partenariat nord-américain pour la sécurité et la prospérité mais il tente probablement de protéger les Canadiens d’une invasion américaine en règle (comme en Irak et en Afghanistan) si nous devions refuser de faire ce que l’élite américaine « exige ».

On doit continuer de surveiller Stephen Harper —ça va de soi— mais tant qu’il continuera de se méfier aussi ouvertement de la ridicule « Obama-manie » (il ne le dit pas mais ça se voit), il gagne en crédibilité auprès de tous ceux qui voient que les enjeux -réels- ne sont pas débattus ouvertement mais plutôt, derrière de lourdes portes, toujours closes.

Ainsi se poursuit la descente aux enfers des Américains.

Si un jour il faut choisir entre défendre de riches banquiers milliardaires qui attaquent la classe moyenne ou nos frères en terre d’Amérique, la décision devrait être simple… sauf pour les naïfs qui croient encore à Obama, cette marionnette vendue aux seuls intérêts de l’élite.

On aimerait tous qu’il soit celui qu’il dit être mais faites-vous à l’idée, ce n’est qu’un autre menteur.

Tags: l’enfer des américains, crise financière, crise du crédit, crise hypothécaire, crise des produits dérivés, banquiers, voleurs, criminels, politiciens achetés, intérêts de l’élite, classe moyenne, barack hussein obama, démocrates, républicains, menteurs, américains, citoyens, électeurs, promesses, guerre en irak, canadiens, choix des canadiens, stephen harper, allié, sommet de montebello, clan bush, régime bush, guerre à la classe moyenne

Laissez un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.