Superendettés en 2010

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Femme endettée avec son chien

Rien de mieux pour défoncer l’année que des vœux de santé, d’amour et de prospérité.

Ceci dit, afin de refléter davantage la réalité, il faudrait expliciter, dans notre vœu de prospérité, qu’on souhaite aux autres d’échapper au piège sournois de l’endettement qui procure un avantage à court-terme qui trop souvent, exige une douloureuse contrepartie à moyen et à long terme, pour ne pas dire à —très— long terme.

Les dettes font l’affaire des banquiers mais nuisent à tous les autres membres de notre société.

Ainsi, les banquiers ont manœuvré afin que nos instances publiques aillent à emprunter via des banques et non via notre propre banque centrale [la Banque du Canada] ce qui signifie qu’aujourd’hui, nous devons des montagnes d’argent aux banquiers dont la part du lion représente de l’intérêt, et non du capital.

Oui, les banquiers ressemblent à s’y méprendre à des bandits.

Vous voulez des preuves?

Allons-y avec la preuve ultime: nous serions astronomiquement riches si les banquiers n’existaient pas, à savoir que de 1935 à 1974, le Canada n’a généré qu’une minuscule dette de 18M$.

Et oui, lorsque nous utilisions NOTRE Banque du Canada pour introduire, par nos propres moyens, de l’argent dans notre économie (sans passer par des banques privées), nous n’accumulions à peu près aucune dette.

Génial, non?

Et bien non, selon…

…qui, dès 1970, avaient intensifié leur guerre ouverte contre notre politique de bonne gouvernance, au sujet de notre argent et la manière dont nous l’introduisions dans notre économie.

En fait, ces escrocs internationaux (je pèse mes mots) se plaignaient que le Canada (via sa banque centrale) livrait une concurrence « illégale » (selon eux, bien sûr) aux « pauvres petits banquiers » (j’exagère à peine) qui, eux, ne pouvaient pas concurrencer l’efficacité de notre État.

Pourquoi les banquiers internationaux étaient-elles incapables de nous endetter, collectivement et individuellement?

Parce que nous avions LE PLEIN CONTRÔLE de notre argent!

Voilà, pourquoi.

Par exemple, lorsqu’Ottawa envoyait 250$ à un fermier de l’Ouest canadien pour qu’il défriche sa terre, cet argent venait de notre trésor public et non d’une dette récemment contractée.

Autrement dit, ce 250$ provenait soit des poches des autres Canadiens et ne portait donc aucun intérêt ou s’il devait être créé (ou « introduit dans l’économie ») par la Banque du Canada, l’intérêt était payé… au gouvernement! Dans les deux cas, il n’y avait pas de possibilité de s’endetter ou encore, très peu.

Mais…

Ce conte de fées a duré de 1935 (création de la Banque du Canada, en mars 1935) à 1974, année où les chantres du nouvel ordre mondial (piloté par les banquiers internationaux et leurs diverses organisations affiliées) ont menacé le Canada de sérieuses représailles s’il n’acceptait pas d’accommoder les banquiers en mettant fin à notre mode d’introduction « sans dettes » de l’argent canadien, dans notre économie.

C’est Pierre-Elliott Trudeau qui a capitulé.

En 1974, sous sa « gouverne« , il nous a livré aux loups, soit les banquiers du nouvel ordre mondial.

Ses ambitions « internationales » étaient telles que pour continuer à frayer avec la grosse gomme de la planète, il nous a « vendu » en laissant les banquiers internationaux venir ruiner notre pays.

S’il y a une chose dont Pierre-Elliott Trudeau devrait avoir honte, c’est ça.

Ainsi, Pierre-Elliott Trudeau a laissé les banquiers internationaux venir « offrir leurs services » aussi bien aux gouvernements qu’aux entreprises et aux individus. C’est depuis 1974 que l’endettement de nos instances publiques et privées, incluant les individus et les ménages, ont explosé.

En 2007, la dette du Canada était réputée avoir atteint plus de 467M$ (bien que ce soit plus de 508M$, chez StatCan) mais en 2010, aujourd’hui, la dette « réelle » du gouvernement du Canada est réputée avoir explosé bien au-delà de 600M$ et pourrait même se diriger vers les 700M$ — c’est raide-dingue!

Et qui profite de cette gigantesque dettes qui « roule » d’année en année?

Vous l’avez deviné: les banquiers!

Soyez conscients que nous n’avions à peu près pas de dettes avant que les loups (les banquiers internationaux) n’arrivent ici avec leurs intérêts systématiques et leur absence à peu près totale de morale ou d’éthique.

Si le Diable (avec un grand « D ») devait revenir sur Terre, aujourd’hui, pour infliger un maximum de souffrances via un « déguisement » aussi subversif que possible, c’est clair qu’il choisirait d’être un puissant banquier, comme l’un des Rothschild puisqu’ils trempent tous dans cet empire du mal absolu.

Enfin bref, plus tôt on aura foutu les banquiers internationaux (avec leurs « traités » à la con) et mieux nous nous en porterons — il faut bien que quelqu’un le dise puisque tous les « grands médias » sont des propriétés directes ou indirectes… des banquiers!

C’est fou comme le nouvel ordre mondial a profité des Canadiens, depuis 1974.

Alors que notre niveau d’endettement au fédéral semble complètement hors de contrôle en filant au-dessus du 600M$, le Canada trouve le moyen de radier des dettes de 22M$ à la Côte d’Ivoire et d’alléger la dette d’Haïti alors même que les ménages Canadiens, eux, croulent sous des dettes de 1,300M$ (en 2009).

Notre niveau d’endettement fait évidemment de plus en plus mal à la valeur nette nationale du Canada mais ça n’inquiète pas Jim Flaherty, notre ministre fédéral des Finances qui nous répète que « nous sommes moins touchés par les effets de la récession que les autres pays » mais au fond, nous savons bien que c’est de la bouillie pour les chats parce que notre dette nous appauvrit continuellement un peu plus.

En clair: on s’en va dans l’mur!

Et les banquiers, eux, chantent « tra-la-lère » en dansant… et en collectant des milliards de dollars d’intérêts sur les montagnes de dettes qu’ils nous ont « aidé » à accumuler.

Avant l’arrivée des banquiers internationaux au Canada, nous connaissions le PLEIN EMPLOI et les Canadiens avaient les moyens d’avoir leur propre maison… à eux. Genre, payée (versus, hypothéquée pendant 25 ans).

Donc, qu’est-ce qui nous attend en 2010, 2011, 2012 et après?

Nous allons continuer à être « superendettés » parce que c’est ce qui plaît aux banquiers internationaux qui ont PRIS LE CONTRÔLE DE NOTRE GOUVERNEMENT et ils ont beaucoup trop de « fun » à nous voir ramper devant eux, épuisés, faibles et plus endettés que jamais.

Vous croyez que j’exagère?

Réveillez-vous, c’est ÇA, la réalité d’aujourd’hui.

Un autre petit point pour vous convaincre qu’haïr les banquiers tombe sous le sens?

Allons-y, vous allez voir, ça va vous faire réfléchir: de 1867 à 1992, nous avons accumulé une dette de 423M$. De ce montant (faramineux, pour notre population), seulement 37M$ a RÉELLEMENT ÉTÉ DÉPENSÉ (pour des routes ou d’autres dépenses « réelles ») alors que 386M$ —ou 91%— n’est que de l’intérêt!

Oui, les Amis.

Sur les 423M$ de dette fédérale, en 1992, 386M$ n’étaient que des INTÉRÊTS!

C’est pas assez fort pour vous, ça?

Pas surprenant que les banquiers internationaux (et leurs « loyaux serviteurs locaux ») s’empiffrent dans le fric en n’amenant RIEN à notre société… et qu’ils travaillent aussi fort pour être certains qu’on ne s’en rende pas compte, notamment en contrôlant nos « grands médias » pour qu’il rapportent n’importe quelle niaiserie mais qu’ils n’abordent JAMAIS les enjeux vraiment importants… comme la gestion de notre argent, via la Banque du Canada.

En tant que citoyens, il faut reprendre le contrôle de notre gouvernement et expulser les « mondialistes », les « internationalistes » et les « libre-échangistes » — ce sont des CRIMINELS À CRAVATE qui contribuent à appauvrir TOUS les Canadiens… sauf les banquiers.

Il faut aspirer à un Canada en PLEIN CONTRÔLE de sa devise (zéro intervention ou pression des « autres ») et des relations de « juste-échange » avec tous les pays de la Terre en plus de reprendre notre position de grand gardien de la paix, dans le monde.

C’est ça, l’avenir qui convient au Canada.

Pas l’accumulation sans fin de dettes qui nous mène (et nous mènera, invariablement) à notre perte (et celle de nos enfants, ce qui est encore plus honteux).

Nous sommes de gens fiers.

Nous ne méritons pas de vivre endettés.

Les banquiers internationaux se sont bien moqués de nous et là, c’est le temps de leur dire NON.

Non à leurs combines foireuses qui ne visent qu’à réduire les Canadiens à l’esclavage économique et à toutes les humiliations qui s’ensuivent. Non aussi à leurs « traités » et autres contrats négociés en cachette avec des politiciens « vendus » (et probablement payés, de manière « créative ») qui ne représentent PAS notre meilleur intérêt.

Alors, en sachant maintenant à quel point les banquiers vous allègent les poches, en vous riant au visage et en se moquant de la sueur sur votre front, est-ce que vous avez encore le goût de vous prosterner devant eux en sachant qu’avant leur venue ici, nous étions forts et « maîtres chez nous »?

Vous savez, au fond de vous, que la situation actuelle ne vous amène à peu près rien de bon.

Il n’est question que d’endettement et au fond, on ne fait que régresser parce qu’à chaque fois qu’on achète quelque chose, on ne fait que s’endetter un peu plus. Et ça, c’est totalement contre-productif.

Alors voilà, il vous appartient de décider si vous ferez partie de ceux qui diront NON à l’endettement (et au recours à l’endettement) comme mode de vie.

Si vous êtes superendettés en 2010, gardez à l’esprit que vous le serez sûrement aussi au cours des années qui suivront, à moins que vous ne preniez les moyens de mettre fin à votre spirale d’asservissement économique.

Sur ce, bonne année 2010, chers Amis!

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9 Commentaires

  1. Merci pour votre message, Sébas!

    Nous savons maintenant, plus que jamais, que nos ennemis —personnels et collectifs— sont des banquiers.

    Tous les Canadiens doivent sortir de leur conditionnement d’esclave-économique pour redevenir des citoyens forts, responsables et en contrôle.

    Il n’y a plus de place pour les banquiers-vampiriques, au Canada. Nous ne sommes pas les seuls, au monde, qui sommes en train de nous rebeller contre ces bandits à cravates — le nouvel ordre mondial n’est PAS le bienvenu, ici ou ailleurs.

    Il faut cesser de tolérer le banditisme de banquiers qui causent la misère, la guerre et la mort partout où ils passent tout en éloignant l’humanité de son réel destin.

  2. @ LevisStar :

    Merci d’avoir reformulé mon message… il est beaucoup mieux comme ça.

    Pour le reste, nous partageons pas mal les mêmes idées… mais je ne veux que nous nous ‘révoltions’ (car les révoltes sont presque toujours récupérées par ceux qui contrôlent nos vies), mais que nous trouvions plutôt des façons de se sortir de l’emprise des ‘controlants’. Si c’est ça que vous entendez par ‘rebellion’, je suis d’accord.

    Je veux justement écrire de petits livrets expliquant ces démarches avec moult exemples/preuves…

    Par exemple (et rapidement);

    Pour se libérer de l’emprise des faux monnayeurs légaux: cesser d’utiliser les cartes de crédits et recommencer à épargner avant de dépenser. Ne pas utiliser de marges de crédits.

    Pour se libérer de l’emprise des illusionnistes médiatiques, ‘tuer’ sa télé…

    etc… pour chaque domaine de nos vies. Il n’y a pas une seule de goûte de sang versé… et si chacun d’entre nous réussi à convaincre UNE seule personne d’agir pour SON propre bien et donc de nous imiter… voilà… c’est ‘gagné’.

    A+

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